Feller et Marzolo marathoniens!

Le traditionnel marathon de Saverne (Bas-Rhin) a eu lieu dimanche 25 septembre. 32 parties en un peu de moins de 24 h, OKAY? Un toutes rondes de 20 rondes suivi d’un système suisse de 12 rondes avec des appariements prévus une ronde à l’avance pour compresser les temps d’attente. Des pros de l’organisation, à Saverne.

MazéL’affaire a attiré 5 GMI, 5 MI sur 107 participants dont certains venus de très loin. Le tournoi a été remporté par Sébastien… Mazé, du club de Clichy. 24 h de labeur plus le transport (il habite le Midi, non?) pour 800 euros de premier prix. Je zappe la division pour le taux horaire. Son éternelle écharpe a accompagné son style de nettoyeur de cases.

 L’autre Sébastien, Feller, était venu… en short. Le tournoi était ouvert à tous les licenciés… et aux non licenciés; nuance d’importance car Cyril Marzolo, MARZOL comme on l’appelle dans le circuit, s’est présenté sur la ligne de départ.

Toujours condamné de suspension de licence pour 5 ans par la commission d’appel fédérale, le petit club de Saverne a-t-il bravé comme un village gaulois une décision de justice fédérale contrée de justesse pour Hauchard et Feller par la Cour d’Appel de Versailles?

En tout état de cause, Marzol n’avait pas ingurgité suffisamment de sucres lents ni de potion magique pour prétendre au podium: 1,5 point dans les 4 dernières rondes (gain Feller, nulle Wirig, perte contre Mazé et Cossin) et à la 9e place ex æquo, il repart sans sangliers: 8 prix figuraient au général, sans les prix par tranche Elo.

 Classement et parcours individuel (très lisible) de chaque joueur sur la page du club de Saverne.

Photos: Club de Saverne (page Facebook)

Marzol est-il « le patron »?
Un admirateur de Mohamed Ali a dormi, épuisé, dans la salle: reportage photo du club de Saverne, vite cliquer suite!

 P.S. : Deux photos spéciales du club de Saverne:


Marzol_patron.JPG

  1. Marzol était-il vraiment le « patron » dans ce tournoi? Bien regarder sa casquette et la réponse apparaît, grandiose.

    strugnell

  2. J’ai crû reconnaître un camarade de club pris dans les bras de Morphée, en pleine salle de jeu. Indice: je pense qu’il adore « The King », Mohamed Ali. (Voir son punch final contre Foreman, en 1974)