Covid au CD : le bal les masques !

Réunion du comité directeur de la FFE du 5 septembre : le menu était copieux. Autour de la table virtuelle, la réunion se tenait chacun chez soi et Gens Una Sumus. Avec les propos sur la covid, les masques sont tombés. Interdit de rire.

Dans toute réunion du comité directeur de la FFE, il y a les excusés, les représentés, les entrants, les sortants, ceux qui prennent la position du démissionnaire, les pinailleurs, les mollusques. Et le chef. Le plat principal était la covid et ses ravages sur le nombre de licenciés (-50 % au 1^er septembre)… et donc sur les recettes avec au dessert le feuilleton des élections…

A propos du covid et des masques, c’était le café du commerce version visioconférence. Bébert Mourmansk a l’expérience et pense que c’est un risque majeur pour les jeunes de jouer sans masque, Monsieur X est parti fouetter d’autres chats plutôt que se laisser bercer par le charabia de telles réunions, Hélène Rossinot voulait imposer le masque à partir de 6 ans, ce qui a motivé sa démission. Grandiose sortie de madame en régime triple salto, jamais entendu parler de ses actions.

La paire de dames Franc-Choisy a fait quinte flush en sifflant la récré avec ‘déroulage’ des mesures en lien avec la cété (commission technique, cété extra, les moddy blues etc.), en s’appuyant sur les mesures prises par les autorités puis en recadrant les patzers.

Première du concours de circonstances : la grande Soso (phie Milliet) qui ô miroir, joli miroir, considère l’appendice nasal en tissu comme « très gênant surtout pour le haut niveau (…) elle ne comprend pas la fermeté de la Fédération sur ce sujet, compte tenu des protocoles adoptés dans d’autres sports de contact qui s’exercent sans masque ».
Coucou camarade syndiquée, le haut niveau que tu représentes au CD, c’est toi ou les autres ? Tous les gros titrés des opens récents en France ont joué masqués. Et pour aller gratter 1500€ au masque. Euh, pardon au max. Vu ?

Deux nominations entre autres : Reza Salami (en joie) et la nouvelle vice-présidente Johanna Basti. Attention, sans ‘t’ ni ‘s’ supplémentaires. Paraît que tout le monde lui veut du « bieng », même en Corse.

La démission de l’ex-directeur général médiatique Jérôme Valenti a été actée. Le spécialiste de « l’inversion de paradigme » (expression à propager dans les organes déconcentrés en mode yoga, ça sera tendance) avait annoncé sa dém’ en vidéo sur le site fédéral. Une grosse pleurade à diffuser à tous les cadres sup’ voulant se faire hara-qui-rit.

Et à la fin du compte rendu, qu’est-ce qui reste ? Pince moi. Du baratin sur les élections et la bataille avec la liste Relange, la ligue de Guadeloupe qui ne répond plus et, grande première, le mot « imbécillité » (oui avec deux ‘l’) employé dans un compte rendu fédéral. Allô, Martine ?